Club par club : les bons et les mauvais points à la trêve

Jermaine Jones (Colorado Rapids) and Didier Drogba (Montreal Impact) do battle

Alors que tous les yeux sont actuellement rivés vers la Copa America, les clubs de MLS profitent d’une trêve qui sera, finalement, de courte durée. De quoi recharger les accus mais aussi corriger les défauts de la première partie de la compétition et solidifier certains acquis. Au fait, qu’est-ce qui a bien et mal été dans chaque équipe depuis le coup d’envoi du championnat ? Voilà mes choix. N’hésitez pas à me faire part des vôtres !

Club
Positif
Négatif
<strong>Chicago&nbsp;</strong>
La défense, solide dans de nombreux compartiments.
Les attaquants ratent, gâchent, galvaudent et vendangent.
<strong>Colorado&nbsp;</strong>
Une forteresse à domicile, une défense solide, une première place inattendue.
Bien défendre mais ne pas savoir contre-attaquer, c’est quand même dommage.
<strong>Columbus&nbsp;</strong>
Justin Meram, l’élément offensif le moins reconnu mais le plus efficace.
Méconnaissable par rapport à 2015. Et le départ de Kei Kamara.
<strong>Dallas&nbsp;</strong>
Les jeunes, attendus au tournant, confirment presque tous leur saison 2015.
Quelques grosses claques, et les déboires du très prometteur gardien Jesse Gonzalez.
<strong>DC United&nbsp;</strong>
Depuis quelques semaines, l’équipe encaisse peu et prend des points grâce à ça.
Le jeu développé est très pauvre, le plan semble d’essayer cinq plans différents par match.
<strong>Houston&nbsp;</strong>
Pas grand-chose. Le changement d’entraîneur est, peut-être, porteur d’espoir. Et encore…
Sauf exception, à chaque match, l’équipe est toujours un cran en-dessous de l’adversaire.
<strong>Kansas City&nbsp;</strong>
Le jeu aérien&nbsp;: tant devant que derrière, le Sporting joue bien de la tête.
Les joueurs d’expérience qui commencent à commettre des erreurs coûteuses.
<strong>LA Galaxy&nbsp;</strong>
L’équipe a trouvé ses marques, alors que d’habitude il faut attendre août pour le voir.
Une propension à, parfois, trop laisser faire l’adversaire et en payer les conséquences.
<strong>Montréal&nbsp;</strong>
Des buts sortis de nulle part, sur phase arrêtée ou en fin de match, qui ont rapporté gros.
Quand l’adversaire défend en bloc et lui laisse le ballon, Montréal manque souvent d’inspiration.
<strong>New England&nbsp;</strong>
Quand l’équipe s’installe dans le camp adverse, elle est capable de développer du beau jeu.
Dès que l’équipe est dominée, elle est vite débordée et est incapable de profiter des erreurs adverses.
<strong>New York City&nbsp;</strong>
Patrick Vieira a appris à ses joueurs à bien exploiter toute la largeur du terrain.
Le Yankee Stadium, où les adversaires font le plein de points.
<strong>New York RB&nbsp;</strong>
Sacha Kljestan, organisateur en chef dans le jeu et sur les coups de pied arrêtés.
La défense, régulièrement remodelée, et pour qui ça a souvent été trop vite.
<strong>Orlando&nbsp;</strong>
Le duo Kaka - Larin, de plus en plus complice et complémentaire.
Glissez un petit ballon au sol au petit rectangle, et c’est la panique à bord.
<strong>Philadelphie&nbsp;</strong>
Une équipe qui sait construire le jeu et dont les jeunes défenseurs surprennent agréablement.
Dans les airs, tant devant que derrière, l’Union manque de hauteur.
<strong>Portland&nbsp;</strong>
Diego Valeri et ses coups francs. C’est léger pour un tenant du titre…
La défense commet trop d’erreurs et est deuxième sur trop de ballons.
<strong>Salt Lake&nbsp;</strong>
La confiance après le parcours en Ligue des champions&nbsp;; une énorme motivation sur chaque ballon.
Jouer à l’enthousiasme, c’est bien, mais est-ce possible sur toute une saison&nbsp;?
<strong>San José&nbsp;</strong>
Wondolowski a retrouvé ses sensations et a en Quintero un compagnon buteur.
Trop peu de buts inscrits sur phase arrêtée.
<strong>Seattle&nbsp;</strong>
Une défense bien en place, qui réagit vite et n’est pas facile à tromper dans le cours du jeu.
Heureusement que même en étant irrégulier, Morris réussit ses débuts, sinon c’est pauvre devant.
<strong>Toronto&nbsp;</strong>
Huit déplacements consécutifs en début de saison, plutôt bien négociés (11/24).
Manque de créativité et dépendance à Giovinco impliqué dans 13 des 14 buts.
<strong>Vancouver&nbsp;</strong>
T’as du mal dans le cours du jeu&nbsp;? Pousse ton adversaire à la faute. Vancouver y arrive bien.
La construction est poussive et en perte de balle, l’équipe se fait prendre de vitesse.